En 2008, Sarkozy faisait voter par nos députés et sénateurs godillots et inutiles le traité de Lisbonne rejeté par les Français en 2005.
En 2012, malgré ses promesses, Hollande la carpette se couchait devant Merkel et signait le TSCG.
Résultat, les néocons non élus de la commission de Bruxelles exigent de la France (pour engraisser toujours plus les financiers) de nouvelles réformes : Recul de l’âge de départ à la retraite ou allongement de la durée de cotisation ; baisse supplémentaire du « coût du travail » mais pas du coût exorbitant de la finance ; flexibilité de l’emploi aggravée ; déréglementation du modèle social…
Pour le délégué CGT PSA Jean-Pierre Mercier, Hollande est pire que Sarkozy, pour Nathalie Arthaud, porte-parole de LO, la vie sous François Hollande, c'est pire que sous Nicolas Sarkozy et pour ce qui concerne la popularité, Hollande fait pire que Sarkozy.
Etre le président pire que Sarkozy, c’est vraiment les boules.
Le ministre du budget, Bernard Cazeneuve annonce réfléchir à des procédures qui permettent à des contribuables de venir devant l'administration fiscale pour régulariser leur situation, tout en déclarant écarter toute amnistie fiscale ou toute régularisation de ceux qui ont fraudé le fisc en ouvrant un compte à l'étranger.
Dans le même temps, il n’engage aucune procédure pour récupérer les 600 millions, un milliard et demi d’euros avec les intérêts, volé au fisc par les héritiers du marchand d’art Wildenstein chez qui la fraude est une tradition.
Faire payer des fraudeurs en période de crise, qu’elle idée !
Les non élus de la commission européenne (europe rejetée par les Français en 2005) veulent nous imposer leurs volontés libérales. Bruxelles souhaite notamment que Paris fasse plus pour réformer son marché du travail (baisse des salaires, augmentation du temps de travail, flexibilité), son système de retraites (baisse des pensions, augmentation de la durée de cotisation et de l’âge l’égal de départ) et pour ouvrir certains marchés. Vive l’europe !